À la fin de l'année 2021, j'ai finalement décidé d'explorer le monde des cryptomonnaies.

Ce n'était pas une décision spontanée. Elle est venue après une longue conversation avec mon ami X, qui essayait de m'expliquer en quoi le Bitcoin était, selon lui, une "meilleure forme d'or".

Étant donné que j'investissais déjà dans l'or et l'argent, cette comparaison a éveillé ma curiosité. J'ai trouvé plus facile de comprendre la proposition de valeur du Bitcoin en le considérant comme une alternative à l'or.

C'est à ce moment-là que les cryptomonnaies ont commencé à avoir du sens pour moi. J'ai rapidement réalisé qu'il y avait bien plus dans l'univers des cryptos que le Bitcoin, même si je considère toujours le Bitcoin comme mon préféré.

Excité par cette nouvelle compréhension, j'ai tenté d'expliquer l'immense écosystème des cryptomonnaies à mes amis et à ma famille. Cela n'a pas eu l'effet escompté avec la plupart d'entre eux — à l'exception de mon fils, qui a pleinement embrassé le monde des cryptos. Curieusement, il a suivi son propre chemin dans l'univers des cryptomonnaies, sans que je le sache, pour finalement faire face au même défi : aucun de ses amis n'était particulièrement intéressé.

Cette expérience nous a poussés, chez BFR Consulting Services, à nous concentrer sur l'éducation de nos clients au sujet des cryptomonnaies, avec pour objectif de faciliter leur courbe d'apprentissage et de les aider à mieux comprendre cet espace en pleine évolution.

Aujourd'hui, la cryptomonnaie est bien plus qu'un simple mot à la mode dans le monde financier, mais pour beaucoup de débutants, elle peut sembler écrasante.

Si vous êtes nouveau dans le monde des cryptos, ce guide vous aidera à la démystifier en explorant ses origines, son évolution et certains concepts clés ainsi que les événements qui ont façonné cet espace.

Les cryptomonnaies sont des devises numériques ou virtuelles qui reposent sur la cryptographie pour leur sécurité.

Elles se distinguent des monnaies fiduciaires traditionnelles (comme le dollar ou l'euro) de plusieurs manières.

Contrairement aux monnaies fiduciaires, qui sont émises et contrôlées par les gouvernements, les cryptomonnaies fonctionnent sur des réseaux décentralisés, utilisant la technologie blockchain pour enregistrer les transactions et garantir la transparence et la sécurité.

Le Bitcoin, la première cryptomonnaie, a été créé en 2009 par une figure anonyme connue sous le nom de Satoshi Nakamoto.

Il a été conçu pour offrir une alternative aux systèmes financiers traditionnels, fournissant un moyen de transférer de la valeur sans avoir recours aux banques ou aux gouvernements.

La plupart des gens n'ont eu affaire qu'aux monnaies fiduciaires et ne connaissent pas bien les alternatives comme l'or, l'argent ou les actifs numériques.

Cela rend des concepts comme la blockchain, la preuve de travail, la preuve d'enjeu, le minage et le staking difficiles à comprendre, et encore plus difficiles à expliquer.

Beaucoup peuvent témoigner de la difficulté de simplifier ces idées complexes.

Cependant, notre objectif ici est de rendre le monde des cryptomonnaies aussi accessible que possible.

Nous expliquerons ces concepts de manière simple, en répondant à toutes les questions que vous pourriez avoir au fil de votre apprentissage.

La plupart des gens n'ont eu affaire qu'aux monnaies fiduciaires et ne connaissent pas bien les alternatives comme l'or, l'argent ou les actifs numériques.

Cela rend des concepts comme la blockchain, la preuve de travail, la preuve d'enjeu, le minage et le staking difficiles à comprendre, et encore plus difficiles à expliquer.

Beaucoup peuvent témoigner de la difficulté de simplifier ces idées complexes.

Cependant, notre objectif ici est de rendre le monde des cryptomonnaies aussi accessible que possible.

Nous expliquerons ces concepts de manière simple, en répondant à toutes les questions que vous pourriez avoir au fil de votre apprentissage.

Il est important de noter que, bien que nous partagions beaucoup d'informations précieuses dans cet article, aucune d'entre elles ne doit être considérée comme un conseil financier.

Notre objectif est de fournir du matériel éducatif pour vous aider à mieux comprendre le monde des cryptomonnaies.

Si vous utilisez ces connaissances à bon escient, elles pourraient vous guider vers une plus grande indépendance financière, mais les décisions que vous prenez sont entièrement les vôtres.

Une chose dont il faut se méfier dans le monde des cryptomonnaies est l'abondance des informations de FUD (Fear pour peur, Uncertainty pour incertitude et Doubt pour doute) et des “moon boys” qui vantent des gains irréalistes.

Vous entendrez souvent des affirmations selon lesquelles vous pouvez devenir millionnaire du jour au lendemain en investissant dans certaines cryptos. Ou à l'inverse, le Bitcoin perdra toute sa valeur et redescendra à zéro.

Ce n’est pas le type d’informations que nous partageons ici.

Chez BFR Consulting Services, nous nous concentrons sur un contenu extrêmement recherché, informatif et éducatif que nous diffusons à travers nos articles de blog et nos vidéos YouTube.

Nos sujets couvrent un large éventail allant de l’indépendance financière et l’économie aux cryptomonnaies et au développement personnel.

Nous vous encourageons à vous abonner à notre chaîne YouTube et à notre newsletter pour des idées et des enseignements continus.

Commençons donc par la question fondamentale que vous vous posez peut-être : qu'est-ce qu'une cryptomonnaie exactement ?

La technologie crypto représente un changement radical dans notre manière de penser l'argent et la valeur.

Bien que cela puisse paraître complexe au début, avec un peu de guidage, vous pouvez commencer à comprendre cette nouvelle frontière financière.

Explorons-la, étape par étape, en simplifiant les concepts au fur et à mesure.

L'histoire des cryptomonnaies commence avec le Bitcoin, qui a été introduit en 2009 par une figure anonyme connue sous le nom de Satoshi Nakamoto.

Le Bitcoin a été révolutionnaire car il offrait une alternative numérique et décentralisée aux devises traditionnelles, permettant de transférer de la valeur sans dépendre d'intermédiaires tels que les gouvernements ou les institutions financières.

Au cœur du Bitcoin se trouve la technologie de la blockchain, un registre public qui enregistre chaque transaction sur un réseau d'ordinateurs, ou nœuds.

La principale innovation de la blockchain est sa capacité à enregistrer des données de manière pratiquement impossible à modifier ou falsifier après coup.

Chez BFR Consulting Services, cet aspect du Bitcoin et de la blockchain nous a beaucoup séduit, notamment à la suite de la crise financière de 2008.

Cette période a été marquée par une fraude et une corruption généralisées, et le registre transparent et immuable du Bitcoin semblait être une véritable bouffée d'air frais dans un monde de systèmes financiers opaques.

L'idée centrale derrière le Bitcoin était de créer une monnaie globale qui ne soit contrôlée par aucune autorité centrale, permettant ainsi des transactions de pair à pair sans avoir besoin d'intermédiaires comme les banques.

Cette approche décentralisée garantissait non seulement une plus grande transparence, mais augmentait également considérablement la sécurité.

Comme les cryptomonnaies sont entièrement numériques, vous ne trouverez ni pièces de Bitcoin physiques, ni billets en circulation.

Au lieu de cela, les cryptomonnaies se composent d'une série de codes alphanumériques qui existent sur des ordinateurs et circulent sur internet.

Cela semble compliqué ? Décomposons cela plus en détail.

Considérons les monnaies fiduciaires traditionnelles comme le dollar américain ou l'euro.

Un billet physique possède souvent un numéro de série qui encode divers détails :

Maintenant, imaginez que vous déposez un billet de 20 € avec un numéro de série spécifique dans votre compte bancaire.

Non seulement votre banque enregistrera cette transaction, mais la banque centrale et le gouvernement pourront également retracer le mouvement de ce billet spécifique dans votre compte.

Les cryptomonnaies fonctionnent de manière similaire, sauf qu'au lieu de billets et les pièces physiques, les coins (pièces) et tokens (jetons) sont entièrement numériques. Ce qui a donne le nom Bit (numérique) coin (pièce).

Chaque unité de cryptomonnaie existe uniquement sous la forme d'un code alphanumérique—comme le numéro de série sur un billet fiduciaire, mais sans le billet physique lui-même ou la pièce physique elle-même.

En matière de cryptomonnaies, il est essentiel de comprendre la distinction entre les pièces et les jetons, ces deux catégories jouent des rôles différents dans l’écosystème des actifs numériques.

Les pièces, comme le Bitcoin (BTC) ou l’Ethereum (ETH), sont des cryptomonnaies autonomes avec leur propre blockchain.

Elles sont utilisées principalement comme une monnaie numérique, permettant des transactions, des transferts de valeur et parfois même la participation à des mécanismes de consensus comme le minage ou le staking.

Les pièces sont donc la monnaie native de leur blockchain, servant à la fois de réserve de valeur et d’unité d’échange.

En revanche, les jetons sont des actifs numériques créés sur une blockchain existante.

Par exemple, les jetons ERC-20 sont construits sur la blockchain d'Ethereum. ERC-20 est un standard technique qui définit un ensemble de règles pour la création de jetons fongibles sur la blockchain Ethereum.

Cependant, la blockchain Ethereum a sa propre cryptomonnaie native, qui est l'Ether, dont le symbole est ETH. L'Ether est la monnaie utilisée pour payer les frais de transaction (gas fees) sur le réseau Ethereum.

Vous l’avez probablement deviné, la monnaie native de la blockchain Bitcoin est le Bitcoin, avec le symbole BTC. Le Bitcoin est donc la monnaie utilisée pour payer les frais de transaction sur le réseau Bitcoin.

Les jetons peuvent représenter divers types de valeurs ou d’actifs, comme des actions, des droits de vote ou même des biens numériques.

Ils sont souvent utilisés dans des applications décentralisées (dApps) et peuvent servir pour des ICOs (Initial Coin Offerings) ou des projets spécifiques.

Revenons sur le terme « fongible », un adjectif qui décrit une caractéristique essentielle de toutes les monnaies fiduciaires.

La fongibilité signifie qu'un objet peut être facilement échangé contre un autre objet du même type et de la même valeur.

Par exemple, si vous prêtez un billet de 10 €, peu importe si on vous rend le même billet ou un autre billet de 10 €—ils ont la même valeur et peuvent être utilisés de manière interchangeable. Cela rend l'argent fongible.

Maintenant, pensez à un maillot de football signé par un joueur célèbre. Vous ne l'échangeriez pas contre un maillot ordinaire, car chaque maillot signé est unique et a une valeur spécifique.

Cela le rend non fongible. C'est la même chose pour un tableau comme la Joconde (Mona Lisa). Vous ne pouvez pas simplement la remplacer par un autre tableau, même si c'est un portrait très similaire—son unicité et sa valeur le rendent irremplaçable et non fongible.

Dans le monde des cryptomonnaies :

Comprendre la fongibilité est essentiel, car elle détermine comment ces actifs numériques peuvent être utilisés et échangés.

Les cryptomonnaies fongibles fonctionnent davantage comme de l’argent traditionnel, tandis que les jetons non fongibles (NFTs) représentent des actifs uniques et irremplaçables.

Comprendre la fongibilité est essentiel, car elle détermine comment ces actifs numériques peuvent être utilisés et échangés.

Les cryptomonnaies fongibles fonctionnent davantage comme de l’argent traditionnel, tandis que les jetons non fongibles (NFTs) représentent des actifs uniques et irremplaçables.

Contrairement aux pièces, dont la plupart sont fongibles (interchangeables), les jetons n'ont pas leur propre blockchain, mais utilisent celle de leur plateforme blockchain hôte. Ils peuvent être fongibles ou non fongibles (NFTs).

Les jetons peuvent représenter divers types de valeurs ou d’actifs, comme des actions, des droits de vote ou même des biens numériques. Lorsqu’elles sont de la même classe (par exemple, des actions ordinaires d'une même société) les actions sont fongibles, c'est-à-dire qu'une action est interchangeable avec une autre action de la même catégorie. En revanche, les droits de vote et les biens numériques peuvent ne pas être fongibles.

Contrairement aux monnaies fiduciaires, où vous pouvez seulement diviser un dollar ou un euro en centimes, la plupart des cryptomonnaies peuvent être divisées en unités beaucoup plus petites.

Par exemple, dans le cas du Bitcoin, chaque pièce peut être divisée en 100 millions d'unités plus petites appelées "satoshis" (similaire à la façon dont les centimes fonctionnent avec les dollars ou les euros).

Au lieu d'un compte bancaire, vous utiliserez un portefeuille de cryptomonnaies.

Mais, contrairement à un compte bancaire traditionnel, aucune information personnelle n'est requise pour créer un portefeuille non custodial. C'est simplement un numéro de compte sans carte physique attachée.

Cela signifie que votre identité n'est pas directement liée à votre portefeuille crypto, contrairement à votre relation avec un compte bancaire.

L'aspect le plus important d'un portefeuille de cryptomonnaies est peut-être le niveau de contrôle que vous avez sur vos fonds.

Si vous utilisez un portefeuille non-custodial (également connu sous le nom de portefeuille en autogestion), vous conservez un contrôle complet sur votre cryptomonnaie. Aucune banque ni aucun tiers ne peut geler votre compte ou bloquer vos transactions.

Cependant, ce niveau d'autonomie comporte un risque. Si vous perdez l'accès à votre portefeuille non-custodial ou si vous oubliez la phrase de récupération (un ensemble unique de mots fournis lors de la création du portefeuille), vous perdrez toute votre cryptomonnaie—de manière permanente.

Le terme "custodial" provient du mot "custody" (garde en anglais), qui est dérivé du mot latin "custodia", signifiant "garde" ou "protection".

En anglais, "custodial" se rapporte à l'acte de prendre soin ou de gérer quelque chose au nom de quelqu'un d'autre.

Dans le contexte de la finance et des cryptomonnaies, un arrangement "custodial" se réfère à un système où un tiers (tel qu'une institution financière, un prestataire de services ou une entité d'échange de cryptomonnaies) détient et gère des actifs crypto au nom du propriétaire.

Par exemple, dans un portefeuille custodial, le prestataire de services détient et contrôle les clés privées de la cryptomonnaie de l'utilisateur, gérant ainsi l'accessibilité aux fonds et l'exécution des transactions pour le compte de l'utilisateur.

Contrairement aux monnaies fiduciaires, où les banques et les gouvernements suivent les soldes des comptes et les transactions, les cryptomonnaies reposent sur un réseau décentralisé pour conserver ces enregistrements grâce à la technologie de la blockchain.

Chaque transaction et solde de compte est stocké sur tous les ordinateurs connectés au réseau de la cryptomonnaie.

Ces enregistrements sont publics, et tout le monde peut les consulter à l'aide d'un outil appelé explorateur de blockchain.

Ainsi, Bitcoin et d'autres cryptomonnaies offrent un niveau de transparence que les systèmes financiers traditionnels ne peuvent égaler.

La blockchain est comme un registre ou un carnet numérique qui garde une trace des transactions ou des informations de manière sécurisée et transparente.

Voici comment cela fonctionne en termes simples :

Imaginez que vous et vos amis vouliez garder un enregistrement de chaque fois que vous vous prêtez de l'argent.

Au lieu de l’écrire sur un morceau de papier qu’une seule personne contrôle (et pourrait modifier), tout le monde garde un carnet partagé où chaque entrée est verrouillée une fois écrite.

Chaque fois que quelqu'un emprunte ou rembourse de l'argent, une nouvelle entrée (ou bloc) est ajoutée au carnet, et tout le monde en reçoit une copie.

Une fois que le bloc est ajouté, il ne peut plus être modifié, et tout le monde peut le voir. De cette façon, personne ne peut tricher ou modifier les enregistrements passés sans que tout le monde le sache.

Maintenant, au lieu d'utiliser des carnets, la blockchain est stockée sur des ordinateurs du monde entier.

Ces ordinateurs vérifient constamment que les informations sont exactes.

Grâce à cela, la blockchain est très sécurisée et décentralisée — aucune personne ou entreprise ne la contrôle.

Voilà l'idée de base de la blockchain !

Cependant, la sécurité et l'anonymat offerts par les cryptomonnaies impliquent également une responsabilité personnelle significative.

Comme nous l'avons vu, le Bitcoin représente bien plus qu'une nouvelle manière de payer en ligne.

C'est un tout nouveau système financier basé sur la décentralisation, la transparence et l'idée que les individus, et non les institutions, devraient contrôler leur propre argent.

À la suite du succès de Bitcoin, d'autres cryptomonnaies ont commencé à émerger, chacune avec ses propres caractéristiques et cas d’utilisation.

L'une des avancées les plus significatives est venue avec Ethereum, introduit par Vitalik Buterin en 2015.

Alors que Bitcoin a révolutionné l'idée de transfert de valeur décentralisé et pair-à-pair, Ethereum a élargi le concept de la blockchain au-delà de la simple monnaie numérique, offrant de nouvelles opportunités d'innovation à travers l'ensemble d'internet.

Ethereum a conservé plusieurs des caractéristiques clés de Bitcoin :

Cependant, la véritable innovation d'Ethereum réside dans l'introduction des "smartcontracts", les contrats intelligents.

Ce sont des contrats auto-exécutants avec les termes de l'accord inscrits directement dans le code, permettant ainsi au contrat de s'appliquer et de s'exécuter automatiquement, sans nécessiter d’intermédiaires tels que des banques ou des avocats.

Les smart contracts permettent des applications décentralisées (dApps), qui offrent aux utilisateurs la possibilité d’interagir avec la blockchain au-delà des simples paiements. Ils facilitent des services financiers tels que le prêt, l’emprunt et la création d’actifs numériques de façon automatisée, sans intermédiaires.

Cette fonctionnalité a fait d'Ethereum la base de nombreux projets basés sur la blockchain, y compris les plateformes de finance décentralisée (DeFi), les jetons non fongibles (Non-Fungible-Tokens ou NFTs), et bien plus encore.

En 2024, Ethereum reste l’une des blockchains les plus polyvalentes et les plus largement adoptées, alimentant des milliers d’applications et de jetons au sein de l’écosystème des crytomonnaies.

Les systèmes de gouvernance de Bitcoin et d'Ethereum diffèrent considérablement quant à la manière dont les décisions sont prises et les changements apportés aux protocoles.

En résumé, Bitcoin privilégie la stabilité et la sécurité, tandis qu'Ethereum met davantage l'accent sur l'innovation et la croissance de la plateforme, avec une plus grande ouverture aux changements et aux mises à jour.

Bien que Bitcoin demeure le standard en matière de cryptomonnaie, souvent qualifié d'or numérique, Ethereum a été surnommé l'ordinateur mondial en raison de ses capacités plus étendues.

Alors que le principal objectif de Bitcoin est de transférer et de stocker de la valeur de manière sécurisée, la plateforme Ethereum se concentre sur la construction de systèmes décentralisés et la facilitation de nouvelles formes d'interaction numérique.

Cette relation complémentaire permet aux deux réseaux de coexister tout en remplissant des fonctions différentes dans le monde de la technologie blockchain.

Comme Bitcoin, Ethereum a rencontré des problèmes de scalabilité et des frais de transaction élevés, ce qui a conduit au développement d'Ethereum 2.0—une mise à niveau majeure visant à améliorer la scalabilité et à passer d'un mécanisme de consensus par preuve de travail à un modèle plus économe en énergie basé sur la preuve d'enjeu.

En élargissant les horizons de ce que la technologie blockchain peut accomplir, Ethereum a préparé le terrain pour de nombreuses innovations qui ont suivi, y compris les stablecoins, les solutions Layer 2, et même de nouvelles blockchains cherchant à résoudre certaines des limitations rencontrées par Ethereum.

À mesure que l'espace des cryptomonnaies évoluait, un nombre croissant de cryptomonnaies alternatives, ou « altcoins », ont été introduites.

Les altcoins désignent toute cryptomonnaie qui n'est pas Bitcoin, et le terme lui-même est une combinaison de « alternative » et « coin ».

Ces actifs numériques ont été créés comme des alternatives à Bitcoin, souvent pour améliorer ses limitations ou offrir de nouvelles fonctionnalités, tout en cherchant à résoudre le trilemme de la blockchain.

Le trilemme de la blockchain, formulé par Vitalik Buterin, le créateur d'Ethereum, propose qu'il soit difficile pour une blockchain de simultanément atteindre les trois objectifs suivants : décentralisation, sécurité, et scalabilité.

Le besoin du terme « altcoin » est apparu peu après le lancement de Bitcoin en 2009, lorsque d'autres monnaies numériques ont commencé à entrer sur le marché.

Le premier altcoin, Namecoin, a été introduit en avril 2011 et était basé sur le code source de Bitcoin.

Contrairement à Bitcoin, conçu uniquement pour les transactions peer-to-peer, Namecoin visait à décentraliser l'enregistrement des noms de domaine, mettant en avant les cas d'utilisation croissants de la technologie blockchain.

À mesure que de nouveaux altcoins faisaient leur apparition, les développeurs cherchaient à résoudre le trilemme de la blockchain en abordant les limitations de Bitcoin, telles que la vitesse des transactions, la difficulté de minage, ou la scalabilité sans compromettre la sécurité.

Chaque altcoin proposait des innovations pour améliorer un ou plusieurs aspects du trilemme, entraînant une diversification du marché des cryptomonnaies, avec chaque altcoin offrant des caractéristiques uniques ou des améliorations spécifiques.

Les altcoins sont généralement définis comme toutes les cryptomonnaies qui ne sont pas Bitcoin.

Cependant, certains débattent de la question de savoir si Ethereum doit être classé comme un altcoin en raison de sa présence importante sur le marché et du rôle significatif qu'il joue dans la facilitation des applications décentralisées (dApps) et des smart contracts.

Quoi qu'il en soit, Ethereum demeure l'une des cryptomonnaies les plus importantes en dehors de Bitcoin.

Avec le temps, l'écosystème des altcoins est devenu plus diversifié, avec des coins servant à des fins spécifiques au-delà de simplement être des alternatives à Bitcoin.

Aujourd'hui, les altcoins sont utilisés pour diverses fonctions, notamment la facilitation des smart contracts, l'alimentation des plateformes de finance décentralisée (DeFi) et l'action en tant que jetons utilitaires pour des écosystèmes spécifiques.

Le monde des altcoins est diversifié, chaque cryptomonnaie offrant des caractéristiques uniques et servant à divers objectifs.

Voici quelques-uns des altcoins les plus notables :

Ces altcoins se distinguent par leurs innovations technologiques, leur capitalisation boursière et leurs cas d'utilisation spécifiques.

Cependant, il est important de se rappeler que le marché des cryptomonnaies est extrêmement volatile, et la notoriété des différents altcoins peut fluctuer rapidement.

En 2024, l'espace des cryptomonnaies compte plus de 20 000 cryptomonnaies actives, bien que des sources telles que CoinMarketCap et CoinGecko suivent des millions de pièces inactives ou insignifiantes.

Quoi qu'il en soit, cela représente une énorme différence en comparaison aux 180 monnaies fiduciaires en circulation dans le monde en 2024, officiellement reconnues par les Nations Unies.

Ces devises sont émises par des pays ou des régions, les plus largement utilisées étant le dollar américain (USD), l'euro (EUR), la livre sterling (GBP), le yen japonais (JPY) et le yuan chinois (CNY).

Certains pays peuvent également adopter des devises étrangères en complément ou à la place de leur propre monnaie.

Par contre, il n'y a que 20 principales cryptomonnaies qui dominent près de 90 % du marché total, tandis que plus de 200 stablecoins circulent à l'échelle mondiale.

Malgré le nombre vaste d'altcoins, la plupart ont peu d'utilité pratique ou de volume de trading, et seuls quelques-uns présentent une capitalisation boursière ou une utilisation significative.

Pour les investisseurs, le marché des altcoins présente à la fois des opportunités et des risques.

Bien que certains altcoins aient le potentiel de générer des rendements élevés, le marché reste extrêmement volatile et sujet à des changements rapides, avec de nombreux projets échouant au fil du temps.

Il est crucial pour les individus de chercher une éducation et des conseils appropriés avant d'investir dans les cryptomonnaies.

Soyez assuré que vous pouvez compter sur BFR Consulting Services pour vous accompagner dans vos premiers investissements en cryptomonnaies et au-delà.

Contrairement aux monnaies fiduciaires traditionnelles, telles que le dollar américain, l’euro ou la livre sterling, toutes les cryptomonnaies ne sont pas conçues pour fonctionner comme des devises transactionnelles.

Au lieu de cela, beaucoup jouent des rôles spécifiques au sein d'écosystèmes particuliers, rendant essentiel pour les investisseurs de comprendre le but et la viabilité de chaque projet.

Les stablecoins représentent une catégorie importante dans le monde des cryptomonnaies, distincte des monnaies plus volatiles comme le Bitcoin.

Ils sont indexés sur un actif stable, tel qu'une monnaie fiduciaire (par exemple, le dollar américain) ou une marchandise (par exemple, l'or), offrant ainsi une stabilité tout en conservant les avantages de la technologie blockchain.

Le concept des stablecoins est apparu en réponse à la forte volatilité des premières cryptomonnaies, les rendant inadaptées aux transactions quotidiennes.

Le premier stablecoin, BitUSD, a été lancé en 2014 sur la blockchain BitShares, créée par Dan Larimer et Charles Hoskinson (qui ont par la suite travaillé respectivement sur EOS et Cardano).

Malgré son innovation, BitUSD a rencontré des difficultés à maintenir sa parité 1:1 avec le dollar américain, perdant finalement cette parité en 2018.

Cet événement a souligné la complexité du maintien d’un stablecoin, en particulier ceux soutenus par des cryptomonnaies volatiles.

L'un des plus réussis est Tether (USDT), également lancé en 2014, qui est devenu largement adopté.

Les stablecoins ont connu une croissance rapide, notamment pendant la pandémie de COVID-19 et la période des politiques de taux d'intérêt zéro, en particulier en 2020 et 2021.

En 2024, le marché des stablecoins a mûri, avec environ 200 stablecoins en circulation dans le monde, dont des acteurs majeurs comme USD Coin (USDC), Pax Dollar (USDP) et Binance Dollar (BUSD), dont beaucoup sont émis par des bourses importantes.

Les stablecoins jouent un rôle essentiel dans l'écosystème des cryptomonnaies :

Au-delà des stablecoins, le monde des cryptomonnaies inclut des tokens cryptographiques, qui peuvent être créés relativement facilement par rapport à des cryptomonnaies à part entière.

Les tokens comme les NFTs — des certificats numériques de propriété pour des actifs tels que des œuvres d’art — ne sont qu’un exemple de leur utilisation.

Cependant, la facilité de création de tokens a entraîné une augmentation des arnaques et des problèmes de securités dans le monde des cryptomonnaies.

Par exemple, Circle émet l'USDC, un stablecoin entièrement adossé au dollar américain.

Pour chaque USDC en circulation, Circle détient un dollar équivalent en réserve, et ces réserves sont régulièrement auditées.

Un autre exemple est Paxos, qui émet le Pax Gold (PAXG), un token adossé à une once troy d'or stockée dans un coffre à Londres. Les tokens Pax G peuvent être échangés contre de l'or physique ou des dollars américains, offrant une combinaison unique d'actifs numériques et physiques.

Circle et Paxos sont des entités réglementées, garantissant transparence et sécurité pour les détenteurs de tokens (jetons).

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Cependant, tous les tokens ne bénéficient pas du même niveau de supervision.

Les escrocs peuvent facilement créer des tokens, mettre en place un site web, diffuser des publicités sur les réseaux sociaux, et promouvoir leurs tokens auprès d'investisseurs non avertis.

Ces arnaques sont devenues courantes, soulignant la nécessité de mener des recherches approfondies avant d’investir dans un nouveau projet de token.

L'un des événements les plus perturbateurs dans le monde des cryptomonnaies s'est produit en 2022 avec l'effondrement de FTX, une plateforme d'échange de cryptomonnaies de premier plan.

Autrefois la troisième plus grande bourse par volume de transactions cryptos, FTX s'est rapidement effondrée après l'émergence d'accusations de fraude et de mauvaise gestion.

Il a été révélé que des milliards de dollars de fonds clients avaient été mal gérés, ce qui a conduit à la faillite de l'entreprise.

Cet événement a laissé plus d'un million d'utilisateurs avec des pertes substantielles et a déclenché une bataille judiciaire au cours de laquelle le fondateur de FTX, Sam Bankman-Fried, a été reconnu coupable de multiples chefs d'accusation de fraude et condamné à 25 ans de prison.

La chute de FTX a mis en lumière les vulnérabilités des plateformes d'échange centralisées.

Contrairement aux réseaux décentralisés, ces plateformes agissent comme des gardiens des fonds des utilisateurs, les rendant vulnérables aux points de défaillance uniques. Lorsqu'une plateforme d'échange centralisée s'effondre, cela peut entraîner la perte complète des actifs des utilisateurs.

Ce scandale a souligné l'importance de l'auto-garde des cryptomonnaies, où les investisseurs conservent leurs crypto-monnaies dans des portefeuilles personnels — en particulier des portefeuilles matériels, qui offrent le plus haut niveau de sécurité.

La nature décentralisée de Bitcoin le rend fondamentalement différent des échanges centralisés comme FTX.

Plusieurs facteurs garantissent qu'un scandale similaire est hautement improbable avec Bitcoin :

Ces facteurs font de Bitcoin l'un des réseaux blockchain les plus sécurisés, très résistant aux types de vulnérabilités auxquels sont confrontés les échanges centralisés comme FTX.

Pour les nouveaux venus dans le monde des cryptomonnaies, la sécurité est souvent une préoccupation majeure.

Les titres concernant les piratages et l'utilisation criminelle des cryptomonnaies peuvent créer de la peur (du FUD), mais ces préoccupations doivent être comprises dans leur contexte.

La sécurité des cryptomonnaies varie selon les réseaux.

Bitcoin, par exemple, a été éprouvé au fil des années, avec une structure robuste et décentralisée qui le rend très résistant aux attaques.

Son réseau est réparti sur des millions d'ordinateurs dans le monde entier, et le pirater nécessiterait de contrôler plus de 50 % de la puissance de calcul du réseau—un exploit presque impossible aujourd'hui.

Cependant, les plateformes d'échange centralisées restent une vulnérabilité importante dans le monde des cryptomonnaies. Ces plateformes sont souvent ciblées par des pirates car elles centralisent les actifs des utilisateurs, créant ainsi un point de défaillance unique.

En conséquence, les experts en sécurité recommandent de transférer les cryptomonnaies des échanges vers des portefeuilles personnels dès que possible, les portefeuilles matériels étant l'option la plus sûre.

Une idée reçue commune est que les cryptomonnaies sont principalement utilisées pour des activités illégales.

Bien qu'il soit vrai que les cryptomonnaies comme le Bitcoin étaient autrefois prisées par les criminels, ce n'est plus le cas aujourd'hui.

Le grand livre public du Bitcoin rend ses transactions facilement traçables, ce qui n'est pas idéal pour des fins illicites.

Les criminels échangent souvent le Bitcoin contre des monnaies axées sur la confidentialité comme Monero, qui sont conçues pour offrir une plus grande anonymat.

Malgré cela, la grande majorité des cryptomonnaies ne sont pas utilisées à des fins illégales.

Seul un petit nombre de monnaies de confidentialité comme Monero offre une véritable anonymat, tandis que la plupart des actifs numériques font partie d'écosystèmes légitimes et en pleine croissance.

Le plus grand risque dans le monde des cryptomonnaies n’est pas l’utilisation criminelle—c’est la volatilité.

Les prix des cryptomonnaies sont notoirement imprévisibles et peuvent fluctuer jusqu’à 50 % en une seule journée.

Cette volatilité rend les investissements en crypto très spéculatifs et risqués, notamment pour les investisseurs qui utilisent l’effet de levier pour amplifier leurs gains (ou pertes).

Pour réduire le risque, il est conseillé aux investisseurs de ne placer que ce qu'ils peuvent se permettre de perdre.

Les cryptomonnaies sont sujettes à des changements rapides de marché causés par des annonces réglementaires, des avancées technologiques ou des cycles de marché spéculatifs.

Les cryptomonnaies, comme les monnaies fiduciaires, tirent leur valeur de la confiance (ou de son absence) des investisseurs.

Le Bitcoin, par exemple, a de la valeur en raison de sa rareté—seulement 21 millions de Bitcoins seront jamais minés—et de sa nature décentralisée, qui offre une alternative aux systèmes financiers traditionnels.

Mais, comme les investisseurs et les traders achètent et vendent du Bitcoin en continu à travers le monde, cela contribue à sa volatilité.

D'autres cryptomonnaies, telles qu'Ethereum, acquièrent de la valeur grâce à leur utilité.

Ethereum alimente les applications décentralisées (dApps) et les contrats intelligents, qui nécessitent de l'Ether (ETH) pour fonctionner, ce qui stimule la demande.

Les transactions incessantes sur le marché du Bitcoin, de l'Ethereum et des autres cryptomonnaies peuvent entraîner d'importantes fluctuations de prix.

De plus, la participation des traders professionnels, qui utilisent des instruments financiers sophistiqués pour spéculer à la hausse comme à la baisse, accentue cette volatilité.

Bien que volatile, les cryptomonnaies continuent d'attirer les investisseurs en raison de leur potentiel à perturber les industries traditionnelles, telles que la finance et la gouvernance.

Les cryptomonnaies telles que Bitcoin, Ethereum et beaucoup d'altcoins fonctionnent sur des réseaux décentralisés, où des propriétaires d’ordinateurs individuels, souvent appelés mineurs ou validateurs, traitent les transactions.

Ces individus sont récompensés en cryptomonnaies pour leur travail, ce qui incite davantage de participants à rejoindre le réseau, augmentant ainsi sa sécurité et sa décentralisation.

Le concept clé ici est qu'il n'y a pas d'autorité centrale contrôlant le réseau, ce qui signifie qu'il n'y a pas de point de défaillance unique.

Cette décentralisation est le fondement de ce qui rend les cryptomonnaies attrayantes pour beaucoup : elles offrent une liberté par rapport au contrôle centralisé des banques ou des gouvernements.

En revanche, la montée des cryptomonnaies a alarmé les institutions financières traditionnelles et les gouvernements. Il fallait bien s'en douter!

À mesure que de plus en plus de personnes exploraient la finance décentralisée (DeFi) et le potentiel des cryptos, il est devenu clair qu'un passage mondial des monnaies fiduciaires aux cryptomonnaies pourrait déstabiliser les systèmes monétaires traditionnels.

D’ailleurs, la notion de DeFi (Decentralized Finance en anglais) a également pris une connotation de défi aux plateformes financières traditionnelles et centralisées.

Pour contrer cela, les gouvernements ont commencé à développer des Monnaies Numériques des Banques Centrales (Central Bank Digitial Currencies ou CBDC).

Bien que les CBDCs et les cryptomonnaies existent sous forme numérique, leurs structures et objectifs sont fondamentalement différents. Les CBDC ne sont pas des cryptomonnaies.

En effet, ce sont des versions numériques de la monnaie fiduciaire d’un pays, comme le dollar américain (USD), l'euro (EUR), la livre sterling (GBP), le yen japonais (JPY) ou le yuan chinois (CNY), émises et contrôlées par les banques centrales.

Contrairement aux cryptomonnaies décentralisées, les CBDCs sont entièrement centralisées, ce qui signifie que le gouvernement ou la banque centrale d'un pays maintient un contrôle complet sur le réseau, les transactions et les données.

Les CBDCs sont conçues pour offrir la commodité des paiements numériques tout en garantissant que l'État conserve le contrôle de la politique monétaire.

Cependant, de nombreux critiques soutiennent que les CBDCs pourraient conduire à un système financier dystopique.

Étant donné que les autorités centrales contrôlent toutes les transactions, elles auraient la capacité de surveiller chaque paiement, de geler des comptes, et même de limiter l’utilisation de l'argent.

En revanche, les cryptomonnaies sont basées sur le principe de la confidentialité et de l'autonomie, permettant aux utilisateurs de contrôler leurs fonds sans interférence d'une autorité centrale.

Alors que les pièces de cryptomonnaies comme Bitcoin et Ethereum sont créées par un processus complexe impliquant la construction de réseaux sécurisés et décentralisés, les CBDCs répliquent la structure centralisée des banques traditionnelles.

Cette différence fondamentale soulève des préoccupations concernant la vie privée, la liberté et le potentiel de mauvaise utilisation du contrôle par les gouvernements sur le système financier.

Les CBDCs représentent la tentative du monde financier traditionnel et centralisé (TradFi ou CeFi) de se moderniser et de rivaliser avec les cryptomonnaies, mais elles ne sont pas conçues pour offrir la décentralisation et l’autonomie que les cryptos fournissent.

Bien qu'elles puissent sembler similaires en surface, les CBDCs et les cryptomonnaies servent des objectifs très différents, et il est essentiel que les investisseurs et les utilisateurs comprennent ces différences à mesure que le paysage des monnaies numériques continue d'évoluer.

Pour une comparaison plus approfondie de ces deux modèles de monnaies numériques et de leurs implications, restez à l’affût de notre prochain article sur les CBDC.

Et si vous êtes nouveau dans le domaine des cryptos, consultez notre Guide de Débutant en Investissement en Cryptomonnaies pour en savoir plus sur la manière de naviguer en toute sécurité dans le monde de la finance décentralisée.