Cher(e) ami(e),
J'espère que cette lettre te trouve en bonne santé et de bonne humeur.
C'est un plaisir de renouer le contact avec toi et de poursuivre notre conversation en explorant le lien entre la liberté et l'indépendance financière.
Je vais être franc avec toi car j'estime que la franchise et la politesse sont deux qualités qui vont ensemble.
Si à la fin de ma lettre précédente tu as répondu mentalement qu'il est possible d'être libre sans être indépendant financièrement, sache que je ne partage pas ton opinion, mais je la respecte.
Peut-être, dépends-tu des allocations familiales ou du chômage et cela te convient ?
Ou bien, tu dépends financièrement d'un membre de ta famille, d'un(e) ami(e), d'un concubin(e), ou d'un(e) conjoint(e) ? C'est un choix de vie, et il n'y a rien à critiquer…
Mon opinion est qu'il n'y a pas de vraie liberté sans indépendance financière.
Je ne vais pas chercher à te convaincre.
Si tu souhaites arrêter de lire cette deuxième lettre, c'est ton choix. Tu peux fermer cette page. C'est mon équivalent de la pilule bleu.
Toutefois, je pense tout de même que tu risques de fermer la porte à un champ de connaissances qui peut transformer ta vie de façon radicale.
Je te recommande donc de marquer cette page web en favori ou de t'envoyer l'URL de cette page…
Si tu partages mon opinion selon laquelle il n'y a pas de vraie liberté sans indépendance financière, ou même si tu te poses toujours la question de l'indépendance financière et de son lien avec la liberté, continue de lire cette lettre.
C'est mon équivalent de la pilule rouge. Celle qui va te permettre de te développer et de commencer un voyage vers une vie plus prospère.
Peut-on réellement vivre la liberté sans atteindre un certain niveau de stabilité et d'indépendance financière ?
Ma réponse simple et immédiate est : pas vraiment !
En revanche, je pense que l'indépendance financière n'est qu'un aspect du spectre plus large de la liberté..
J'aimerais connaître tes réflexions et tes expériences à ce sujet.
Vivre d'un salaire à l'autre jusqu'à ce que...
J'aimerais connaître tes réflexions et tes expériences à ce sujet.
As-tu rencontré des situations où des contraintes financières ont affecté ta capacité à vivre pleinement, à saisir des opportunités, à faire plaisir à tes amis, ta famille, ton ou ta conjoint(e), ton ou ta concubin(e) ?
Ressens-tu par moments une lassitude de vivre d'un salaire à l'autre et d'avoir l'impression que tu n'arriveras jamais à t'améliorer financièrement ?
Rêves-tu parfois d'avoir la liberté de voyager, de prendre une retraite anticipée ou de poursuivre tes passions sans te soucier de l'argent ?
Tu n'es pas seul à ressentir cela, que ce soit de temps en temps ou en permanence.
Certaines personnes le ressentent plus intensément que d'autres, mais la majorité des gens le ressentent, sauf s'ils sont nés avec une cuillère en argent dans la bouche.
Si tu ressens ces émotions, ces aspirations, et que tu exprimes ces désirs que j'ai mentionnés précédemment, tu exprimes un désir de liberté, que l'on peut appeler la liberté financière ou l'indépendance financière.
Pour l'instant, je confonds volontairement les deux termes, mais si tu continues à lire mes lettres, tu verras qu'a un moment donné, nous établirons une distinction claire entre les deux : liberté financière d'un côté et indépendance financière de l'autre.
Je trouve ces questions particulièrement pertinentes dans le monde d'aujourd'hui, où les préoccupations financières se croisent souvent avec notre poursuite d'aspirations personnelles et professionnelles.
Tes points de vue à ce sujet seraient grandement appréciés, et si tu continues à lire mes lettres, nous pourrons échanger dans un forum, un groupe de personnes qui sont intéressées ou motivées par leur développement personnel et leur liberté financière.
En attendant, prends bien soin de toi.
Amicalement,
Francis Emery
PS : Continuons cette conversation stimulante dans ma prochaine lettre.
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